Premier jeu français pour One Shot, mais surtout premier survival horror en 3D, père spirituel de pas mal de productions lui ayant succédé à travers les années, voici Alone in the Dark !
Bien que daté, le plaisir de parcourir les couloirs du mystérieux manoir de Derceto est resté intact sous sa fine pellicule de poussière.
Nous userons de notre esprit de déduction peu commun, mais également de notre goût pour l’exploration, la lecture, l’occultisme, et le combat pour comprendre ce qui a mené le propriétaire des lieux à se suicider après avoir lentement sombré dans la folie…
Audacieux et exigeant dans ses mécanismes, il est possible de se bloquer au point de devoir recommencer à zéro, ce qui est assez rare pour le souligner.

C’est l’occasion pour moi de prendre ma revanche sur ce jeu qui me fascinait par ses lieux et ses mystères, et que je ne suis jamais parvenu à terminer.
Ses ennemis invincibles et ses énigmes particulières avaient eu raison de ma persévérance étant plus jeune, quand la mémoire cache de mon vieil ordinateur ne me faisait pas défaut.

Un joueur qui perd sa moustache, une flèche fantôme à tête chercheuse, des couloirs qui servent d’inventaire, et une architecture au z-index douteux;
Prends ces biscuits en pleine tête le zombie et retourne en enfer !!!!